Un très bon débat
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Stérilisation généralisée
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Forest Charlot and co
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melisandre
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chaque année je recueille des chatons
je les soignes et les mets en adoption
alors les nourrir les soigner (vermifuge, anti puce) je le fais de bon coeur mais la stérilisation c'est trop trop cher pour moi je ne suis vraiment pas riche.
alors je fais quoi ?
je vois des chatons et je les laisse mourir de faim ou écrasé ?
rhoooo n'importe quoi
je les soignes et les mets en adoption
alors les nourrir les soigner (vermifuge, anti puce) je le fais de bon coeur mais la stérilisation c'est trop trop cher pour moi je ne suis vraiment pas riche.
alors je fais quoi ?
je vois des chatons et je les laisse mourir de faim ou écrasé ?
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melisandre
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GriGris
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La question est sensible en effet, et ne vise qu'à encadrer le commerce des chats par des professionnels. L'Economie pour et malgré tout.
Mais un but certain de cette loi, est la diminution des chats sauvages ou relachés par certains propriétaires, un vrai problème, tant en ville qu'à la campagne.
Je me souviens, mon grand père, devait durant chaque vacances se promener avec son fusil pour abattre les chats et chiens abandonnés sur ses terres et blessant ou massacrant tout animal sans même s'en nourrir pour enfin crever dans des conditions effroyables de maladies et malnutrition, des dizaines chaque vacance, Toussaint, Noël, Pâques, carnaval, et surtout les mois d'été. (aujourd'hui plus personne ne le fait, l'écosystème est détruit, plus un seul faisant, lapin, lièvre, perdrix, etc, l'environnement semble devenu stérile, à quelque chats ensauvagés et agressifs près. Le dérangement a même fait évoluer la flore qui n'est plus consommée comme autrefois et se densifie, et les habitants des alentours se plaignent de chats rôdeurs qui en viennent même à attaquer les chiens pour se nourrir de leur pattée...). Trop de personnes achètent des chats pour un besoin d'affection passager, puis le relâchent car sinon ils ne peuvent partir en vacances, les forêts se retrouvent avec des prédateurs fous qui mettent en péril un déjà fragile équilibre, les villes se retrouvent avec des quartiers entiers où des dizaines de chats sèment leurs excréments et pénètrent les habitations. Chiens et chats bien entendu, sans parler des furets, tortues, et animaux exotiques dont des carcasses ont été trouvées.
La responsabilité est celle des propriétaires, ça n'a pas marché, toute solution préventive a été tentée, mais aujourd'hui notre cher paternel l'Etat se doit d'agir ainsi, je trouve ça triste aussi, car ma petite et belle Grigris n'aura jamais de portée dont je me serai bien occupé (stérilisée à la fourrière où je l'ai recueillie).
Ma compagne et moi choisissons des lieux de vacances où le chat est le bienvenu, souvent de type village bungalows ou maison campagnarde. Pour les quelque fois où nous partons encore en avion, nous choisissons un ami, heureux de recueillir notre chatte bien élevée. La contrainte est présente, mais avoir des enfant n'est ce pas la même chose? Et puis c'est amusant de voir son animal s'amuser dans les jardins durant les vacances!
Le souci n'est pas le chat, mais une partie des humains, cette même partie qui fiche totalement en l'air notre société jusqu'à l'écroulement total auquel nous pouvons nous attendre d'une façon ou d'une autre, peut-être pas espérons le.
Alors, stériliser les animaux, les piquer, ou plutôt s'occuper de "l'animal humain" comme il se devrait (et se faisait autrefois au temps des lois morales et non constitutionnelles encore fort prématurées et à l'essais perpétuel): amandes, prison, traitement psychiatrique, etc. ? Mais tout ceci parait encore exagéré, l'animal n'a que la valeur de sa chair et de l'éventuel travail fourni, sinon il ne "vaut" pas grand chose...
Abandonner un enfant en forêt serait pourtant très fortement punissable, adopté ou non, alors pourquoi ceux qui adoptent un animal peuvent le faire en toute impunité?
Je pense que la mesure est transitoire, pour lutter contre ce qui est depuis des dizaines d'années un vrai fléau. Nous trouverons une solution juste!
La solution mérite en tout cas une continuation du débat, en vue d'une solution à long terme selon moi.
Mais un but certain de cette loi, est la diminution des chats sauvages ou relachés par certains propriétaires, un vrai problème, tant en ville qu'à la campagne.
Je me souviens, mon grand père, devait durant chaque vacances se promener avec son fusil pour abattre les chats et chiens abandonnés sur ses terres et blessant ou massacrant tout animal sans même s'en nourrir pour enfin crever dans des conditions effroyables de maladies et malnutrition, des dizaines chaque vacance, Toussaint, Noël, Pâques, carnaval, et surtout les mois d'été. (aujourd'hui plus personne ne le fait, l'écosystème est détruit, plus un seul faisant, lapin, lièvre, perdrix, etc, l'environnement semble devenu stérile, à quelque chats ensauvagés et agressifs près. Le dérangement a même fait évoluer la flore qui n'est plus consommée comme autrefois et se densifie, et les habitants des alentours se plaignent de chats rôdeurs qui en viennent même à attaquer les chiens pour se nourrir de leur pattée...). Trop de personnes achètent des chats pour un besoin d'affection passager, puis le relâchent car sinon ils ne peuvent partir en vacances, les forêts se retrouvent avec des prédateurs fous qui mettent en péril un déjà fragile équilibre, les villes se retrouvent avec des quartiers entiers où des dizaines de chats sèment leurs excréments et pénètrent les habitations. Chiens et chats bien entendu, sans parler des furets, tortues, et animaux exotiques dont des carcasses ont été trouvées.
La responsabilité est celle des propriétaires, ça n'a pas marché, toute solution préventive a été tentée, mais aujourd'hui notre cher paternel l'Etat se doit d'agir ainsi, je trouve ça triste aussi, car ma petite et belle Grigris n'aura jamais de portée dont je me serai bien occupé (stérilisée à la fourrière où je l'ai recueillie).
Ma compagne et moi choisissons des lieux de vacances où le chat est le bienvenu, souvent de type village bungalows ou maison campagnarde. Pour les quelque fois où nous partons encore en avion, nous choisissons un ami, heureux de recueillir notre chatte bien élevée. La contrainte est présente, mais avoir des enfant n'est ce pas la même chose? Et puis c'est amusant de voir son animal s'amuser dans les jardins durant les vacances!
Le souci n'est pas le chat, mais une partie des humains, cette même partie qui fiche totalement en l'air notre société jusqu'à l'écroulement total auquel nous pouvons nous attendre d'une façon ou d'une autre, peut-être pas espérons le.
Alors, stériliser les animaux, les piquer, ou plutôt s'occuper de "l'animal humain" comme il se devrait (et se faisait autrefois au temps des lois morales et non constitutionnelles encore fort prématurées et à l'essais perpétuel): amandes, prison, traitement psychiatrique, etc. ? Mais tout ceci parait encore exagéré, l'animal n'a que la valeur de sa chair et de l'éventuel travail fourni, sinon il ne "vaut" pas grand chose...
Abandonner un enfant en forêt serait pourtant très fortement punissable, adopté ou non, alors pourquoi ceux qui adoptent un animal peuvent le faire en toute impunité?
Je pense que la mesure est transitoire, pour lutter contre ce qui est depuis des dizaines d'années un vrai fléau. Nous trouverons une solution juste!
La solution mérite en tout cas une continuation du débat, en vue d'une solution à long terme selon moi.