Chiens-Chats.be

Bonsoir,

Nous vivons depuis l'arrivée de notre chien dans une maison unifamiliale, avec un escalier à l'intérieur. On n'a jamais laissé notre chien aller en haut, sauf une seule fois, la toute première fois qu'il est venu à la maison. En fait, en haut, on a une cage avec 6 belles calopsittes. Quand mon chien l'a vu à deux mois, il n'a tout simplement pas calculé la cage et les oiseaux. Par contre mes oiseaux ont eu bien peur !

Bon, depuis on les a tenu séparés, mon chien ne monte donc jamais en haut. Mais on va bientôt déménager dans un rez-de-chaussée. Cette fois les oiseaux seront dans notre chambre à coucher, séparé de deux portes (ou une porte et un grillage pour bébé ou chien) du living/jardin où restera surtout mon chien. Je me demandais alors que faire, par sécurité :

1) Je ne présente pas, lors du déménagement, mes oiseaux à mon chien à nouveau, et j'interdis l'accès de la chambre à ce dernier. L'avantage est qu'il n'ira juste pas à cet endroit. L'inconvénient est que j'ai peur qu'il soit curieux ou que, s'il passe un jour quand même dans la pièce, qu'il ait une mauvaise réaction.

2) Ou bien je les mets en contact (lors du déménagement, dans cette maison où nous vivons toujours). Si ça se passe bien, je me dis que ça risque moins de problèmes pour la suite. Mais d'un autre côté, il pourrait ne pas les aimer et reconnaître leurs odeurs et chercher à les rejoindre dans la nouvelle maison, etc.

Enfin, je ne sais pas si c'est clair, mais vous voyez un peu ma question. Des avis?

Je pense qu'il vaut mieux des rencontres avant le déménagement.

Rien de pire qu'un chien qui découvre tout seul à l'insu de son plein gré des ennemis potentiels

Je ne comprend pas pourquoi les avoir séparé. Vous auriez du continuer à faire les présentations, tenu en laisse s'il le fallait.
Je dis comme Nouki faites les présentations avant de déménager.

mais surtout y aller très très doucement.......les callopsittes peuvent avoir le cœur qui lâche suite à une frayeur

J'ai 2 volières extérieures, une avec des canaris et une autre avec des perruches. Au début, mon chien essayait d'attraper les canaris mais avec le temps, il ne voit même plus les oiseaux, c'est comme s'il n'y avait rien!

nadine46 a écrit :mais surtout y aller très très doucement.......les callopsittes peuvent avoir le cœur qui lâche suite à une frayeur

C'est surtout pour cela que je voulais les séparer - j'aime beaucoup trop mes callosités que pour laisser mon petit loup les ennuyer ou leur faire peur. Je vais les prendre un par un dans une plus petite cage que je vais ramener au salon et mettre en hauteur je pense. J'imagine qu'il faut faire comme si de rien était, ne pas trop réagir aux réactions du chien?

maymay a écrit : j'aime beaucoup trop mes callosités

T'es bien sûr ?

Oh saleté de correcteur ! Le truc c'est que j'ai modifié 3 fois en plus, et il a quand même réussi à le changer encore...

Petite photo du plus "dominant" d'ailleurs (maintenant que je n'y crois plus trop avec les chiens, je dois voir si la dominance a encore un sens avec mes oiseaux) :

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Bon, on a descendu dans une petite cage le plus brave de nos calopsittes, hier et ce soir. Hier, on le ramène sur la table à manger, Gümüs est tenu en laisse à 5m. Il ne calcule pas trop, reste couché. Après on rapproche la cage, là il se lève et renifle. Et puis il devient excité, renifle vite et ses yeux se font tout grand ! On remonte l'oiseau. Ce soir on le ramène à nouveau, on le pose sur la table et là il aboie dessus. C'était pas un aboiement agressif, c'était trop aigu pour l'être. Il s'est couché après 5 minutes, mais dès que possible il se relevait et tirait vers la table.

En fait niveau signes corporels, il a ce soir fait la même chose que ce qu'il fait quand il voit des chats dehors : il devient tout réactif et tire fort. Enfin, avec l'oiseau il l'était beaucoup moins, mais c'est dans le même genre. Et je ne sais vraiment pas s'il veut jouer avec le chat ou s'il veut le bouffer, de même avec l'oiseau.

Donc, pour finir, on pense évidemment à les séparer dans le nouvel appartement. Il y aura deux portes qui les sépareront, Gümüs n'accédera jamais à la chambre à coucher (aucune exception !), la porte de celle-ci sera tout le temps fermé à clé. Ici il avait assez vite compris qu'il ne pouvait pas monter les escaliers - qui n'ont pas de porte ou barrière -, il n'a même jamais essayé. Je crois qu'il comprendra assez vite de l'autre côté, suffira de ne jamais le laisser y aller. On pensera à solidifier un peu la cage (qui est métallique) et la fixer au mur. S'il y a d'autres conseils à donner pour bien les séparer, je suis preneur !

Normal, tu ne dois surtout pas l'amener devant luimais mettre la cage à son insus, puis tu vas balader gumu, tu reviens, tu le laisses voir la cage l'air indifférent(te tourner légèrement de profil, voire te reculer un peu,) tout en tenant ta longe non tendue...

Le fait d'installer devant lui est donner de l'importance, de le focaliser voire lui faire assimiler comme un azppat interdit.

Tout doit rester naturel...

Par contre, tu peux , quand il se désintéresse de la cage, quand il ne la regarde plus, mettre des récompenses par terre...histoire de positiver...

Retirer également la cage hors de sa présence sinon tu refocalises et tu attises sa convoitise en soustrayant.

Au fait, ça fait longtemps, mais...

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Gümüs s'en fout pas mal des oiseaux. On ne le laisse pas aller dans la chambre, mais il nous arrive d'oublier la porte ouverte. Parfois il y fait frais, donc il se couche au sol. Il s'approche des oiseaux pour les sentir, et quand ceux-ci de peur s'envolent un peu dans tous les sens, il bascule la tête et puis s'en va. La cage n'est pas grande, c'est pas top pour les oiseaux, mais une fois qu'on construira une vraie volière intérieure assez solide (avec 2m de profondeur et 4m de longueur), on pourra laisser Gümüs aller tout près s'il le veut. Enfin, ça fait du bien de ne plus devoir jouer au gardien de prison. On espère faire de même avec les poules !

Au final, on n'a pas fait grand chose. Temps en temps on laissait la porte ouverte, quand il était en laisse, on le laissait voir ce qu'il y avait. C'est à peu près tout...

Parfois, ne rien faire, c'est faire beaucoup:bises.